La saison 2021 de Formule 1 nous en a fait voir de toutes les couleurs. Jusqu’à la toute dernière course. Pour la deuxième fois seulement dans l’histoire du championnat, la dernière épreuve s’est jouée avec un bris d’égalité. Un jeune prétendant au titre contre un vétéran tentant de décrocher le dernier record qu’il lui reste à décrocher. Jusqu’au dernier tour de la vingt-deuxième manche, les fans ont été arrosés de suspense.
Le championnat de Formule 1 2022 semble donc être prometteur, avec de nouveaux règlements techniques. Il est peut-être trop tôt pour prédire quoi que soit, même avant d’avoir un portrait moyen, il faudra attendre deux ou trois Grands Prix. L’arrivée de George Russell chez Mercedes aux côtés de Lewis Hamilton va certainement brasser les cartes, même si Russell aura peut-être des instructions de la part de son écurie de demeurer prudent et de prioriser une bonne intégration et l’apprentissage progressif pour sa première saison. De son côté chez Red Bull, Max Verstappen va tenter de protéger son titre, tandis que son rival va tenter de racheter son huitième sacre. Les écuries McLaren et Alpine vont de leur côté tenter de renforcer leur montée parmi les meilleurs des autres.
La saison 2022 devrait – si la situation le permet toujours – marquer le retour du Grand Prix du Canada, mon Grand Prix national, qui avait été annulé en 2020 et 2021 pour les raisons que l’on connaît. Depuis 2017, j’ai des billets en tribune au circuit Gilles-Villeneuve pour les trois jours de l’événement. Les fans de F1 à travers la planète adorent le Grand Prix présenté à Montréal.
J’ai personnellement très hâte à l’extinction des rouges à Bahreïn, le 20 mars prochain.